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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans plus de 100 pays. L'OIM est présente au Mali depuis 1998.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le Gouvernement du Mali, la FAO, l’OIM, l’UNESCO et le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la paix lancent un projet pour renforcer l’employabilité des jeunes ruraux
Bamako - Le Ministère de l’Entreprenariat National, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle du Mali, les agences onusiennes (FAO, OIM et UNESCO) et le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la paix, ont procédé le 17 mars à Bamako au lancement officiel d’un projet qui vise la création d’emplois durables et la mise en place d’un cadre de dialogue inclusif pour la paix et la cohésion sociale ciblant les communautés rurales.
Le projet dénommé « Soutien à l’auto-emploi de la jeunesse rurale, vecteur de paix et de cohésion sociale au Mali » s’étend sur une période de 24 mois et sera exécuté dans les cercles de Kita et de Yanfolila avec l’appui et la facilitation conjointe de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) et l’Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Financé par le Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) à hauteur de 2 500 000 USD (soit 1 496 522 500 FCFA), le projet contribuera au renforcement des capacités des 2 250 jeunes adultes (filles et garçons), des femmes ainsi que des migrants de retour au Mali dans la prévention et la gestion des conflits et leurs participations actives au développement socio-économique de leurs communautés via des emplois durables. Cette initiative assurera l'égalité des sexes – 50% des bénéficiaires directs des femmes – et touchera 700 000 bénéficiaires indirects.
Depuis quelques années, le Mali vit une période difficile de son histoire. Les indicateurs montrent que l’insécurité qui s’est progressivement étendue du Nord vers le Centre du pays, tend à s’implanter au Sud du pays. Les tensions inter communautaires sont exacerbées par la pression des groupes armés non étatiques qui exploitent les frustrations de la population, y compris des jeunes et des femmes. La recrudescence des vols et attaques armés sur certains axes routiers principaux du Sud du pays pourrait entraver la circulation de la majeure partie des produits agricoles cultivés.
« Les Nations Unies supportent les efforts du Gouvernement pour rétablir la sécurité sur tout le territoire national. Les résultats de cette initiative revêtent pour les Nations Unies, une importance particulière car ils permettront de montrer à d’autres partenaires techniques et financiers contributeurs que des changements positifs sont possibles malgré la situation d’insécurité et qu’il y a un besoin réel de passer à l’échelle les interventions pour un impact plus grand » a soutenu M. Mansour NDIAYE, Représentant de la FAO au Mali, dans l'allocution prononcée au nom du Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Mali, lors du lancement.
Quant au Ministre Bakary DOUMBIA, il indiqué que « le Gouvernement de Transition fait en sorte que cette formidable énergie pour le développement que constitue cette jeunesse rurale puisse bénéficier des conditions pour son expression efficace. D’où l’initiation de ce projet dans les localités de Kita et Yanfolila afin de créer des opportunités d’emplois décents pour les jeunes ruraux (hommes et femmes), y compris les migrants de retour, dans les filières des secteurs de l'agriculture et de l’élevage, en vue de renforcer l’intégration socio-économique et la cohésion sociale ».
L’atelier de lancement a regroupé les parties prenantes du projet notamment les Représentants des Agences, Fonds et Programmes du Système des Nations Unies au Mali, les Directeurs des services techniques nationaux, les représentants de la Société civile et des Organisations de la Profession Agricole, les membres des Organisations faitières des Femmes et des Jeunes Ruraux ainsi que les représentants du secteur privé.
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Contacts pour les médias : Mohamed CISSÉ, chargé de communication, Représentation de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) au Mali, Mohamed.Cisse@fao.org; Mobile : +223 74 57 56 70
Bob Camille QUENUM, chargé de l’information publique, Mission de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) au Mali, bquenum@iom.int; Mobile : +223 90 50 00 06
Djenebou MARIKO, chargée de la communication externe et de la visibilité, Représentation de l’Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO), d.mariko@unesco.org; Mobile : +223 71 07 44 57
Aitana CONSTANS BELDA, chargée de communication, Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix (PBF) au Mali, aitana.constans@undp.org; Mobile : +223 93 58 24 26